L’astrologie amoureuse

L’astrologie, on le sait, fascine les Français depuis longtemps. Même si vers le début du XXe siècle, on pensait que cette pratique allait peu à peu s’éteindre pour disparaître complètement, la réalité est tout autre. Inversement aux prévisions, l’astrologie a repris vie et un envol comme jamais auparavant. Les guerres mondiales, au lieu de faire perdre l’illusion des Français, ont contribué à les rendre encore plus accros à l’horoscope.

Qu’en pensent les Français ?

Et aujourd’hui, de plus en plus de nos compatriotes consultent tous les matins, soit via leurs journaux soit via une application sur leur mobile, leur horoscope du jour. Et ils le font sans faute, croyant, pour la plupart d’entre eux, que le déroulé de leurs journées se trouvent là, en tout cas, l’essence. Mais ce qui fascine encore plus une bonne part de la population, c’est l’astrologie amoureuse. Il semble bien qu’un tiers des Français y croient. C’est bien pour cela qu’on entend des exclamations du genre : « Cette femme, c’est le ciel qui me l’a envoyée ! » ou bien « Lui, c’est ma bonne étoile ! ».

L’amour est dessiné dans le ciel…

Lorsqu’ils font une belle rencontre, de nombreux Français se précipitent sur leur ordinateur pour vérifier s’il y a compatibilité de signes avec leur amoureux/se. Si ce n’est pas le cas, cela en freine certains, ils hésitent à poursuivre leurs relations amoureuses, persuadés que c’est voué à l’échec…D’autres tentent leurs chances, forçant les événements et se disent qu’ils verront bien où cela mène. Ils choisissent d’aller « à l’encontre » de leur destin. Eh oui, ce sont dans les 30 % des Français qui pensent que les astres, sans nul doute, influencent leur vie amoureuse. Si leur signes astrologique est compatible avec celui de leur bien-aimé(e), ils sont convaincus que leur couple va vivre une belle passion et va certainement durer. Mais les études menées dans ce domaine montrent que les femmes sont deux fois plus convaincues de cela que les hommes. Alors, elles se laissent porter par leur destin, mais bien souvent, elles prennent tout de même des initiatives parce qu’il faut aussi faire sa part pour que ça marche n’est-ce pas ?